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Modélisation de l'impact de la contraception sur l'autonomisation des femmes en Afrique subsaharienne à l'aide des données longitudinales récentes de PMA et de l'analyse séquentielle Georges Guiella
Clémentine Rossier

Ce modèle vise à évaluer l'impact de l'utilisation de contraceptifs sur l'autonomisation des femmes âgées de 15 à 49 ans, en utilisant les données longitudinales récentes de PMA et une analyse séquentielle. Il se concentrera sur trois pays d'Afrique de l'Ouest (Burkina Faso, Niger, Côte d'Ivoire) et deux pays d'Afrique de l'Est (Ouganda et Kenya). Dans tous ces pays, des données longitudinales ont été collectées sur la plateforme PMA, couvrant quatre années d'utilisation de contraceptifs et deux années d'autonomisation (via trois enquêtes en 2019, 2020, 2021). L'analyse séquentielle sera utilisée pour résumer les trajectoires contraceptives à l'aide du package R TraMineR. L'analyse de séquence intégrera des informations sur les épisodes d'utilisation de contraceptifs, les grossesses et les naissances pour identifier des modèles d'utilisation de contraceptifs. Nous créerons une cohorte fictive basée sur les données longitudinales collectées dans PMA pour évaluer l'augmentation de l'autonomisation à chaque âge spécifique entre 15 et 49 ans, en utilisant la méthode des différences de différences. Nous prendrons en compte différentes dimensions de l'autonomisation des femmes (prise de décision et scolarisation/activité économique). Le modèle contrôlera d'autres variables indépendantes pertinentes telles que l'éducation, le lieu de résidence, l'état matrimonial, la parité et la richesse du ménage. Nous étudierons les différences dans l'impact de la contraception sur l'autonomisation entre les pays, ainsi que basé sur l'accès (prestation de services dans la région). Analyser l'accès - en plus de l'utilisation - nous permettra de mettre en œuvre une perspective des droits de l'homme lors de l'évaluation de l'impact de la planification familiale sur l'autonomisation.

Équipe de projet:

  • Principal Investigator: Prof. Georges Guiella (ISSP, University Joseph Ky Zerbo, Burkina Faso)
  • Co-investigator: Prof. Clementine Rossier (IDESO, University of Geneva, Switzerland)
  • Statistician: Prof. Matthias Studer (IDESO, University of Geneva, Switzerland)
  • Statistician and demographer: Dr. Lonkila Moussa Zan (ISSP, University Joseph Ky-Zerbo, Burkina Faso)
  • Research assistant: Dao Oumarou (ISSP, University Joseph Ky-Zerbo, Burkina Faso)

 

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